L’Avare ACTE I Scène 6. VALÈRE.- Apprenez, Maître Jacques, vous, et vos pareils, que c’est un coupe-gorge, qu’une table remplie de trop de viandes [5] Viandes, au sens général et vieilli du mot : aliments. Notices gratuites de Acte 3 Scene2 PDF HARPAGON.- Oui. Potages : bisque, potage de perdrix aux choux verts, potage de santé, potage de canards aux navets. Il est finalement chassé. Il a peur qu'on la découvre et qu'on lui vole. Potages : bisque, potage de perdrix aux choux verts, potage de santé, potage de canards aux navets. BRINDAVOINE.- Il dit qu’il vous apporte de l’argent. Je veux faire pendre tout le monde; et si je ne retrouve mon argent, je me pendrai moi-même après. Faire réfléchir en utilisant le rire Le texte : Molière, L’Avare, acte IV, scène 7 Harpagon : Non, coquin, je ne dis pas cela. Comment voudriez-vous qu’ils traînassent un carrosse, qu’ils ne peuvent pas se traîner eux-mêmes ? Cléante. MAÎTRE JACQUES.- Je le disais en raillant. Valère le fait reculer autant qu’il l’a fait. ce ne sont plus rien que des fantômes, des façons de chevaux (1682). . (1682). MAÎTRE JACQUES.- Vous n’avez qu’à parler. et ne vous figurez-vous point les alarmes d’une personne toute prête à voir le supplice où l’on veut l’attacher ? MARIANE.- Et moi, pour vous répondre, j’ai à vous dire que les choses sont fort égales ; et que si vous auriez de la répugnance à me voir votre belle-mère, je n’en aurais pas moins sans doute [22] Sans doute : assurément. FROSINE à Mariane.- L’aventure est merveilleuse. L’Avare ACTE III Scène 6. VAR. Je vous demande pardon, ma belle, de l’impertinence de mon fils. [27] VAR. DUNCAN Il reprend le type de l’Avare hérité de Plaute. After his first confrontation with the witches, Macbeth worried that he would have to commit a murder to gain the Scottish crown. Cf. VAR. Quel est le nom de l'avare? Quant à ton frère, je lui destine une certaine veuve dont, ce matin, on m’est venu parler; et, pour toi, je te donne au seigneur Anselme. (Il ôte sa casaque de cocher, et paraît vêtu en cuisinier.). VALÈRE.- Je ne me souviens pas maintenant de son nom. HARPAGON.- Vous ferez sagement. VAR. [25] Sans doute : sans aucun doute, assurément. Ceci s’adresse au cocher. Voilà la plus belle sentence que j’aie entendue de ma vie. De grâce, Madame, ne résistez point davantage. Soumettez aussi vos textes vos poèmes, aux lecteurs. FROSINE.- Savez-vous, Maître Jacques, si votre maître est au logis ? Je veux faire le brave, et, s’il est assez sot pour me craindre, le frotter quelque peu. HARPAGON.- Maintenant, Maître Jacques, il faut nettoyer mon carrosse. [19] De vous prévenir : de vous devancer. traître, tu manges tout mon bien. il ne me plaît pas, moi. Ah ! Je veux que tu me répondes. Savez-vous bien, Monsieur le rieur, que je ne ris pas, moi, et que si vous m’échauffez la tête, je vous ferai rire d’une autre sorte ? Apprenez que vous êtes un mauvais railleur. HARPAGON.- Le travail ne sera pas grand, d’aller jusqu’à la foire. Non, Madame (1682). VALÈRE.- Que vous n’êtes, pour tout potage, qu’un faquin de cuisinier ? Pour votre payement, voilà un homme que je vous donne à pendre. CLÉANTE.- Belle demande. Outre cela, je vous constitue, pendant le souper, au gouvernement des bouteilles ; et s’il s’en écarte quelqu’une, et qu’il se casse quelque chose, je m’en prendrai à vous, et le rabattrai sur vos gages. LA MERLUCHE.- Vous dire que vos deux chevaux sont déferrés. [6] La sentence figure dans la Rhétorique à Herennius de Cicéron (IV, 38) : Esse oportet ut vivas, non vivere ut edas ; la pensée est attribuée à Socrate par Plutarque dans ses  ?uvres morales ("Comment il faut que les jeunes gens lisent les poètes", IV, fin) et par Aulu-Gelle dans ses Nuits attiques (XIX, 2). Maître Jacques. Et vous, tenez toujours votre chapeau ainsi, lorsque vous servirez. VALÈRE.- Qu’il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger. Au XVIIe siècle, les verres ne sont pas sur la table où l’on mange ; un domestique apporte un verre plein à un convive sur sa demande. MAÎTRE JACQUES.- Non, Monsieur, je n’ai pas le courage de les mener, et je ferais conscience de leur donner des coups de fouet en l’état où ils sont. Oui, nigaude. Je sais mon métier, Dieu merci. HARPAGON.- Le traître assurément a reçu de l’argent de mes débiteurs, pour me faire rompre le cou. HARPAGON.- C’est trop d’honneur que vous me faites, adorable mignonne. Celui-là conte qu’une fois vous fîtes assigner le chat d’un de vos voisins, pour vous avoir mangé un reste d’un gigot de mouton. La Flèche lui lance « La peste soit de l’avarice et des avaricieux ! FROSINE.- Dites-lui, je vous prie, que nous sommes ici [16] VAR. HARPAGON.- Dis-moi un peu, nous feras-tu bonne chère ? FROSINE.- Vous moquez-vous ? 3. Il est finalement chassé. À sot compliment, il faut une réponse de même. Le résumé Acte I. L'intrigue se passe à Paris. Allez-vous-en lire un peu les préceptes de la santé, et demander aux médecins s’il y a rien de plus préjudiciable à l’homme, que de manger avec excès. C’est justement celui dont je t’ai parlé. MAÎTRE JACQUES.- Et pour ne faire rien [10] Et pour ne faire rien : Sous prétexte qu’ils ne font rien... , Monsieur, est-ce qu’il ne faut rien manger ? BRINDAVOINE.- Vous savez bien, Monsieur, qu’un des devants de mon pourpoint est couvert d’une grande tache de l’huile de la lampe. L’Avare ACTE V Scène 6. Suspicieux, il se méfie de … Pour votre payement, voilà un homme que je vous donne à pendre. Frosine, elle ne répond mot, et ne témoigne, ce me semble, aucune joie de me voir. Comment est-ce que tu dis ? MAÎTRE JACQUES.- Oui, si vous me donnez bien de l’argent. Fiche de 2 pages en littérature : Molière, L'Avare, Acte I, scène 3. Et pour votre souper, vous n’avez qu’à me laisser faire. Ah ! HARPAGON.- Mon Dieu, nous savons le train des enfants dont les pères se remarient, et de quel œil ils ont coutume de regarder ce qu’on appelle belle-mère. ACTE V, SCÈNE PREMIÈRE. LA MERLUCHE.- Et moi, Monsieur, que j’ai mon haut-de-chausses tout troué par derrière, et qu’on me voit, révérence parler... HARPAGON.- Paix. HARPAGON.- C’est beaucoup de bonté à vous, de vouloir ainsi excuser ses fautes. VALÈRE.- Est-ce que vous avez envie de faire crever tout le monde ? Je vous prie de m’excuser, ma belle, si je n’ai pas songé à vous donner un peu de collation avant que de partir. Page 3 of 72. . MAÎTRE JACQUES.- Hé bien, ne l’avais-je pas deviné ? MAÎTRE JACQUES.- Écrivez, Monsieur, écrivez. MAÎTRE JACQUES.- Voilà Monsieur votre intendant, qui vous fera bonne chère pour peu d’argent. [13] Ces quatre termes sont tous synonymes d’avare. Je reviens tout à l’heure [28] Tout à l’heure : immédiatement. [9] VAR. Décès de Christophe, retour sur sa vie et ses succès. de changer de discours ? HARPAGON.- Vous voyez qu’elle est grande ; mais mauvaise herbe croît toujours. Read a translation of Act 3, scene 3 → Analysis: Act 3, scenes 1–3. à vous voir mon beau-fils. MARIANE à part.- Je n’y puis plus tenir. FROSINE.- Non, il vaut mieux que de ce pas nous allions à la foire, afin d’en revenir plus tôt, et d’avoir tout le temps ensuite de vous entretenir. CLÉANTE.- Vous êtes cause, Madame, que mon père me querelle. ce ne sont plus rien que des fantômes, des façons de chevaux (1682), Pour vous gratter : pour vous flatter. Il devient littéralement fou de rage et de désespoir. Centrée sur le personnage d Harpagon, cette oeuvre traite les sujets de l ’argent et de l avarice en montrant leurs côtés excessifs et ridicules. Faire réfléchir en utilisant le rire Le texte : Molière, L’Avare, acte IV, scène 7 Savez-vous bien, Monsieur le fat, que je suis homme à vous rosser vous-même ? HARPAGON.- Pourrais-je savoir de vous, Maître Jacques, ce que l’on dit de moi ? Oui, nigaude. MAÎTRE JACQUES.- Par ma foi, Monsieur l’intendant, vous nous obligerez de nous faire voir ce secret, et de prendre mon office de cuisinier : aussi bien vous mêlez-vous céans d’être le factoton [i] Factoton : prononciation à la française de factotum. À ce que je puis voir, maître Jacques, on paie mal votre franchise. MAÎTRE JACQUES.- Mais à qui des deux le premier ? Si je prends un bâton, je vous rosserai d’importance. FICHE DE FRANÇAIS L’Avare, Le Cid, Le Médecin Malgré lui et Andromaque L’Avare L'Avare ou l’École du mensonge est une comédie de Molière en 5 actes (comportant respectivement 5, 5, 9, 7 et 6 scènes) et en prose, créée au Théâtre du Palais-Royal le 9 septembre 1668[1]. Il se ravise un moment. Madame aura la bonté d’excuser cela, s’il lui plaît. 2. bien garni de marrons ; là, que cela foisonne (1682). voilà pour traiter toute une ville entière.MAÎTRE JACQUES.- Rôt dans un grandissime bassin en pyramide : une grande longe de veau de rivière, trois faisans, trois poulardes grasses, douze pigeons de volière, douze poulets de grain, six lapereaux de garenne, douze perdreaux, deux douzaines de cailles, trois douzaines d’ortolans...HARPAGON, en lui mettant la main sur la bouche.- Ah ! CLÉANTE.- C’est un compliment que je fais pour vous à Madame. Romeo and Juliet Act 3 Page | 69 Act 3, Scene 1 Enter MERCUTIO, BENVOLIO, Mercutio's PAGE, and others MERCUTIO, his page, and BENVOLIO enter with other men. Voilà de mes damoiseaux flouets qui n’ont non plus de vigueur que des poules. HARPAGON.- Voilà un compliment bien impertinent. Je les veux faire graver en lettres d’or sur la cheminée de ma salle. Commençons par vous. C’est un présent que mon père vous a fait [27] VAR. MARIANE.- Je puis dire la même chose. C’est un présent que mon père vous fait. Oui, nigaude. [i] Siquenille (ou souquenille) : "sorte de justaucorps fort long, fait de grosse toile, qu’on donne aux cochers et aux laquais pour conserver leurs habits" (Dictionnaire de l’Académie, 1694). de Molière. Valère. LA MERLUCHE.- Monsieur, je vous demande pardon, je croyais bien faire d’accourir vite. CLÉANTE.- Non, mon père, je ne suis point capable d’en changer ; et je prie instamment Madame de le croire. L’autre, que vous avez toujours une querelle toute prête à faire à vos valets dans le temps des étrennes, ou de leur sortie d’avec vous, pour vous trouver une raison de ne leur donner rien. 3, 4, 5 ; Acte II, sc. HARPAGON.- Je me suis engagé, Maître Jacques, à donner ce soir à souper. Scène 3: 1ere visite de Rodrigue,qui obtient de Chimène un aveu d'amour. Il est finalement chassé. ce que dit Mme Jourdain de Dorante et de son mari : "Il le gratte par où il se démange", dans Le Bourgeois gentilhomme, III, 4. ROSS God save the king! Quelles sont les circonstances de la première rencontre d’Élise et Valère? He looks like someone with a strange tale to tell. La phrase signifie : Il n’y a pas de Monsieur Maître Jacques pour un sou, il n’y a pas de Monsieur Maître Jacques qui vaille. Il n’y a rien que je ne sois capable de faire pour une conquête si précieuse ; et les obstacles les plus puissants... HARPAGON.- Doucement, mon fils, s’il vous plaît. CLÉANTE, HARPAGON, ÉLISE, MARIANE, FROSINE. » sans le désigner et le voue à être volé (ce qui annonce le vol de la cassette de la scène 6 de l’acte IV). The day is hot; the Capulets, abroad; Je sais mon métier, Dieu merci. L’Avare par Jean Baptiste Poquelin: Molière. Je serais fort fâchée de vous causer du déplaisir ; et si je ne m’y vois forcée par une puissance absolue, je vous donne ma parole, que je ne consentirai point au mariage qui vous chagrine. Il continue encore plus fort. [3] L’épée de chevet est celle qu’on garde à portée de la main durant la nuit ; au figuré, c’est la grande ressource, le grand argument, le mot que l’on a toujours à la bouche. Sélectionner une page. Qu’est-ce qu’Élise reproche à Valère et aux hommes en général? BENVOLIO I pray thee, good Mercutio, let's retire. Attendez qu’on vous en demande plus d’une fois [1] Au XVIIe siècle, les verres ne sont pas sur la table où l’on mange ; un domestique apporte un verre plein à un convive sur sa demande. L’un dit que vous faites imprimer des almanachs particuliers, où vous faites doubler les quatre-temps, et les vigiles, afin de profiter des jeûnes, où vous obligez votre monde. Ce document a été mis à jour le 04/12/2009 HARPAGON, en le battant.- Vous êtes un sot, un maraud, un coquin, et un impudent. HARPAGON.- Oui, quand vous verrez venir les personnes ; et gardez bien de gâter vos habits. FROSINE.- Mon Dieu, tous ces blondins sont agréables, et débitent fort bien leur fait ; mais la plupart sont gueux [17] Gueux : pauvres, sans un sou. Entrées : fricassée de poulets, tourte de pigeonneaux, ris de veaux, boudin blanc, et morilles.HARPAGON.- Que diable ! HARPAGON.- Et vous, mon fils le damoiseau [2] VAR. Outre cela, je vous constitue, pendant le souper, au gou… TEXTE 1: L’Avare Acte I Sc 3 L ’Avare de Molière, auteur du XVIIe siècle, est une pièce de théâtre du genre classique. CLÉANTE.- Avez-vous jamais vu, Madame, un diamant plus vif que celui que vous voyez que mon père a au doigt ? par | Jan 25, 2021 | Non classifié(e) | Jan 25, 2021 | Non classifié(e) ACTE III, scènes 3 à 6: Mariane découvre son futur mari avec horreur et comprend qu'il est le père de celui qu'elle aime. Factoton : prononciation à la française de. Je mentirais, si je vous le disais : mais pour ce qui est de la bien recevoir, et de lui faire bon visage, je vous promets de vous obéir ponctuellement sur ce chapitre. Comment, doucement ? (Maître Jacques pousse Valère jusques au bout du théâtre, en le menaçant.). Frosine, quelle rencontre ! Il l’ôte du doigt de son père, et le donne à Mariane.-, Il se met au devant de Mariane, qui le veut rendre.-. [11] De vous tenir au cul et aux chausses : de vous empoigner, de se saisir de vous. Cela sied bien aux filles. Que c’est un mariage, Madame, où vous vous imaginez bien que je dois avoir de la répugnance ; que vous n’ignorez pas, sachant ce que je suis, comme il choque mes intérêts ; et que vous voulez bien enfin que je vous dise, avec la permission de mon père, que si les choses dépendaient de moi, cet hymen [21] Hymen : mariage. L’aventure a pour moi, le même attrait qu’un réverbère pour un papillon de nuit, Tous nous avons peur ; c’est la peur qui nous. Harpagon. (1682). Vous verrez qu'ils ont part, sans doute, au vol que l'on m'a fait. Lisez ce Littérature Mémoires Gratuits et plus de 248 000 autres dissertation. Le riche et avare Harpagon a deux enfants : Élise, amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain au service de son père en qualité d'intendant, et Cléante, qui souhaite épouser Mariane, une jeune orpheline sans fortune. il faudra quatre grands potages bien garnis, et cinq assiettes d’entrées. Et vous, mon fils... (1682). C’est un présent que mon père vous fait. BRINDAVOINE.- Monsieur, il y a là un homme qui veut vous parler. . [8] VAR. Lisez ce Archives du BAC Fiche de lecture et plus de 249 000 autres dissertation. HARPAGON, LE COMMISSAIRE, son CLERC. Non, ce n’est pas cela. HARPAGON.- Ne vous offensez pas, ma belle, si je viens à vous avec des lunettes. Il l’interroge et se montre ridicule en le fouillant. Dissertations Gratuits: L'avare, Acte 2 Scene 5. [4] VAR. Le temps le rendra plus sage, et vous verrez qu’il changera de sentiments. bien garni de marrons ; là, que cela foisonne (1682). (Donnant des coups de bâton à maître Jacques.) Riez de vos coups de bâton quand on vous on donnera, et ne venez point rire des miens. Il n’a garde de le reprendre. (1682). MAÎTRE JACQUES.- Vous êtes un impertinent. Si je prends un bâton, je vous rosserai d’importance. CLÉANTE.- Vous moquez-vous ? HARPAGON, en lui mettant la main sur la bouche.- Ah traître, tu manges tout mon bien [4] VAR. [5] Viandes, au sens général et vieilli du mot : aliments. Avare Moliere Acte 3 Scene 1 Page 1 sur 35 - Environ 344 essais L'avare 1223 mots | 5 pages Les ressorts du comique dans l'Avare de Molière .. [1] Au XVIIe siècle, les verres ne sont pas sur la table où l’on mange ; un domestique apporte un verre plein à un convive sur sa demande. His eyes seem frantic! HARPAGON, CLÉANTE, ÉLISE, VALÈRE, DAME CLAUDE, MAÎTRE JACQUES, BRINDAVOINE, LA MERLUCHE. Lisez les quatre scènes et comparez les réactions de Mariane avec celles qu'avaient prévues Frosine dans la scène 5 de l'acte II. J’aime de lui un aveu de la sorte ; et s’il avait parlé d’autre façon, je l’en estimerais bien moins. Le Cid- Acte III Scène VI - Corneille. (Valère le fait reculer autant qu’il l’a fait.). HARPAGON.- Je vous demande pardon. lavare acte 3 scène 1 analyse. par | Jan 25, 2021 | Non classifié(e) | Jan 25, 2021 | Non classifié(e) Du côté des éditeurs, on prend donc ses dispositions. CLÉANTE.- Moi, mon père, mauvais visage ; et par quelle raison ? Valère Aragon Anselme Harpago VALÈRE.- Monsieur, j’obligerai le voisin le Picard, à se charger de les conduire : aussi bien nous fera-t-il ici besoin pour apprêter le souper. . Et je n’ai pas besoin d’un interprète comme vous (1682). HARPAGON.- Mais voyez quelle extravagance ! VAR. Vous ne m’avez pas voulu croire. Avez-vous envie [23] Avez-vous envie... : Voulez-vous bien changer de discours ? (Harpagon met son chapeau au-devant de son pourpoint, pour montrer à Brindavoine comment il doit faire pour cacher la tache d’huile.) LE COMMISSAIRE.- Laissez-moi faire. VALÈRE.- Je n’ai jamais vu de réponse plus impertinente que celle-là. . MARIANE.- Pour ne vous point mettre en colère, je la garde maintenant ; et je prendrai un autre temps pour vous la rendre. Vous dites... HARPAGON.- Qu’il faut nettoyer mon carrosse, et tenir mes chevaux tous prêts pour conduire à la foire... MAÎTRE JACQUES.- Vos chevaux, Monsieur ? HARPAGON.- Je vois que vous vous étonnez de me voir de si grands enfants ; mais je serai bientôt défait et de l’un, et de l’autre. 10 questions - 10 questions faciles et difficiles pour testez vos connaissances sur un des classiques français. . Et Monsieur a-t-il invité des gens pour les assassiner à force de mangeaille ? )Bon, vous voilà les armes à la main. traître, tu manges tout mon bien. HARPAGON.- Les voilà bien malades, ils ne font rien. HARPAGON.- Je n’ai point d’argent à donner en mariage à mes enfants. Ce n’est pas d’aujourd’hui que je me mêle de découvrir des vols ; et je voudrais avoir autant de sacs de mille francs, que j’ai fait pendre de personnes [1] Un commissaire est un officier royal subalterne qui fait "les informations, visites de police et captures" (Dictionnaire de Furetière, 1690) ; il est rémunéré par celui qui fait appel à lui. Molière, L'Avare, acte I, scène 3 . HARPAGON.- Allons. ; que pour se bien montrer ami de ceux que l’on invite, il faut que la frugalité règne dans les repas qu’on donne ; et que suivant le dire d’un ancien, il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger [6] La sentence figure dans la Rhétorique à Herennius de Cicéron (IV, 38) : Esse oportet ut vivas, non vivere ut edas ; la pensée est attribuée à Socrate par Plutarque dans ses  ?uvres morales ("Comment il faut que les jeunes gens lisent les poètes", IV, fin) et par Aulu-Gelle dans ses Nuits attiques (XIX, 2). Le Cid Acte III Scène VI L’héroïsme est au centre du théâtre de Corneille. bien garni de marrons ; là, que cela foisonne (1682). CLÉANTE. . nous voilà pas mal". [2] VAR. HARPAGON.- Ah que cela est bien dit ! CLÉANTE.- Madame, à vous dire le vrai, c’est ici une aventure où sans doute [20] Sans doute : sans aucun doute, assurément. Analyse de la scène 7 Acte III de la tragédie Andromaque de Jean Racine. Vous êtes la fable et la risée de tout le monde, et jamais on ne parle de vous, que sous les noms d’avare, de ladre, de vilain, et de fesse-mathieu [13] Ces quatre termes sont tous synonymes d’avare. Morbleu ! CLÉANTE.- Hé bien, puisque vous voulez que je parle d’autre façon ; souffrez, Madame, que je me mette ici à la place de mon père ; et que je vous avoue, que je n’ai rien vu dans le monde de si charmant que vous ; que je ne conçois rien d’égal au bonheur de vous plaire ; et que le titre de votre époux est une gloire, une félicité, que je préférerais aux destinées des plus grands princes de la terre. CLÉANTE. Quel est leur état d’esprit? FROSINE.- Je vois bien que pour mourir agréablement, Harpagon n’est pas le supplice que vous voudriez embrasser ; et je connais à votre mine, que le jeune blondin dont vous m’avez parlé, vous revient un peu dans l’esprit. CLÉANTE.- Vous voyez qu’il se désespère. Polonius plans to hide in order to eavesdrop on Gertrude’s confrontation with her son, in the hope that doing so will enable him to determine the cause of Hamlet’s bizarre and threatening behavior. Soumettez aussi vos textes vos poèmes, aux lecteurs. Riez de vos coups de bâton quand on vous en donnera, et ne venez point rire des miens. Oui, Madame, le bonheur de vous posséder est à mes regards la plus belle de toutes les fortunes ; c’est où j’attache toute mon ambition. Harpagon : Je me mets en peine de ce qu’ il faut. VALÈRE.- Maître Jacques fait bien le raisonnable. MAÎTRE JACQUES.- Morbleu, Monsieur le nouveau venu, qui faites l’homme d’importance, ce n’est pas votre affaire. MAÎTRE JACQUES.- Oui ; le vin pur monte à la tête. Cf. Vous êtes-vous fait mal ? HARPAGON.- Encore ? MAÎTRE JACQUES.- Oui, Monsieur, si j’étais assuré que cela ne vous fâchât point. (1682). lavare acte 3 scène 1 analyse. MARIANE.- Ah ! Je fais ce que je puis pour l’obliger à la garder, mais elle est obstinée. MARIANE.- Oui, c’est une chose, Frosine, dont je ne veux pas me défendre ; et les visites respectueuses qu’il a rendues chez nous, ont fait, je vous l’avoue, quelque effet dans mon âme. : mais vous leur faites observer des jeûnes si austères, que ce ne sont plus rien que des idées ou des fantômes ; des façons de chevaux [9] VAR. Il semble qu’ils n’aient autre chose à dire, de l’argent, de l’argent, de l’argent. Molière - L'avare: Act V, Scene 6 (Cléante, Valère, Mariane, Élise, Frosine, Harpagon, Anselme, Approchez, Dame Claude. MAÎTRE JACQUES.- Monsieur l’intendant fait bien le nécessaire. Valère, Maître Jacques. L avare (Publié le 4 avril 2012) (Mis à jour le: 14 janvier 2016) L’Avare ACTE ACTE V Scène 6. HARPAGON.- Voici mon fils aussi, qui vous vient faire la révérence. nous voilà pas mal". L'auteur de la pièce combat le vice en le mettant en scène l'avarice et l'amour de l'argent, qui aliène le personnage. Gardez la bague, puisque Monsieur le veut. [16] VAR. Question 26 - Acte II, scène 1 - Décrire l’opération du prêt. HARPAGON.- Ô fils impertinent, as-tu envie de me ruiner ! , et de faire sans cesse des contes de votre lésine. In Gertrude’s chamber, the queen and Polonius wait for Hamlet’s arrival. Entends-tu ? HARPAGON.- Elle a raison. Sélectionner une page. Dénonciation d’un vice L’avarice est considérée, selon la tradition catholique, comme un des sept péchés capitaux. Soumettez aussi vos textes vos poèmes, aux lecteurs. Quand il y a à manger pour huit, il y en a bien pour dix. [18] Cela n’est pas pour durer : cela ne devrait pas durer. Et vous, mon fils... (1682). MARIANE à part à Frosine.- Ah ! et que tu fais bien voir qu’il n’appartient qu’à toi de faire des miracles. Désormais j’y renonce, et je ne veux plus dire vrai. MAÎTRE JACQUES.- Il n’y a point de Monsieur Maître Jacques pour un double [14] Un double était une pièce valant deux deniers. MARIANE.- Non, je ne sais point quel il est ; mais je sais qu’il est fait d’un air à se faire aimer ; que si l’on pouvait mettre les choses à mon choix, je le prendrais plutôt qu’un autre ; et qu’il ne contribue pas peu à me faire trouver un tourment effroyable, dans l’époux qu’on veut me donner. MAÎTRE JACQUES.- Attendez donc, s’il vous plaît. , et vous ressouvenez de porter toujours beaucoup d’eau. MAÎTRE JACQUES.- Monsieur, puisque vous le voulez, je vous dirai franchement qu’on se moque partout de vous ; qu’on nous jette de tous côtés cent brocards à votre sujet ; et que l’on n’est point plus ravi, que de vous tenir au cul et aux chausses [11] De vous tenir au cul et aux chausses : de vous empoigner, de se saisir de vous. FROSINE.- C’est qu’elle est encore toute surprise ; et puis les filles ont toujours honte à témoigner d’abord ce qu’elles ont dans l’âme. Valère, aide-moi à ceci. Harpagon, Anselme, Élise, Mariane, Cléante, Valère, Frosine, un commissaire, Maître Jacques, La Flèche. c’est un mauvais métier: désormais j’y renonce, et je ne veux plus dire vrai. CLÉANTE.- Vous le ferez tomber malade. Mais cependant préparez-vous à bien recevoir ma maîtresse qui vous doit venir visiter, et vous mener avec elle à la foire. CLÉANTE.- N’est-il pas vrai, mon père, que vous voulez que Madame le garde pour l’amour de vous ? HARPAGON bas à son fils, en le menaçant..- Bourreau que tu es ! Morbleu ! HARPAGON, bas à son fils.- Ah, traître ! (1682). ÉLISE.- Vous avez fait, Madame, ce que je devais faire, et c’était à moi de vous prévenir [19] De vous prévenir : de vous devancer.
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